J’avais déjà bu
J’m’étais pas aperçu
De mon ivresse
La mer était repue
Une odeur impromptue
Remonte ta veste
A voir passer le temps
Et l’amour innocent
Entre deux caresses
Ce sera ton tour
Du premier amour
J’avais pris l’instant
Fibre de Madeleine
Une douce claque
Les dieux sont des enfants
A qui l’on donne tout
Sauf notre âme
J’voudrais pas dire
Mais les filles qu’ont les yeux
Vendus au diable
C’est plus généreux
Que les promesses dans les cieux
A vouloir sourire
Trop de bévues
Le visage pâle
La mer est repue
Vieille dans son lit
Elle remit son châle
On vivra un peu
Le temps que l’on veut
Entre deux caresses
On gardera toujours
Le premier amour
Ils avaient quatre mains
Je n’avais que la gauche
J’ai tiré sur le destin
C’est parti sans un mot
Elle s’est couchée là sur le dos
Parole di Christian Olivier/Têtes Raides.
Che gentile, Andrea! Parlavo proprio ieri di Têtes Raides e Dagermann con un amico alla Libreria Utopia di Milano. E gli dicevo proprio che bisognerebbe farli conoscere di più in Italia. Io ci provo nel mio piccolo :-) Ti ringrazio molto.
Fa sempre piacere trovare un/a italiano/a che conosca e apprezzi Tetes Raides…